Les opportunités de rencontre avec moi sont rares et précieuses et ça F. l’a bien compris. Lorsqu’il est entré en contact avec moi j’ai tout de suite pu lire entre les lignes à quel point il présentait tous les signes d’un soumis éduqué et évolué, conscient de la chance qu’il pourrait avoir s’il venait à passer entre mes griffes.
Modeste, timide, admiratif, il semblait avoir toutes les qualités requises pour devenir mon parfait petit jouet.
Par une chaude après midi d’août le rendez-vous a enfin lieu. J’enfile mes talons, je lustre ma canne, mon martinet, ma cravache et je dépose au congélateur quelques outils dont moi seule connaît l’utilité. Le vent brûlant souffle sur les rideaux entre-ouverts et je me demande si mon pantin sera à même de résister à ces conditions infernales. 17H00, F. arrive. Lorsque je le retrouve près du portail vert en métal qui garde la grande maison de pierre où je séjourne je découvre que je ne m’étais pas trompée. F. me salue d’un timide « Bonjour maîtresse » et ne semble pas pouvoir décoller ses yeux du sol. Amusée par la situation je l’invite à me suivre à l’intérieur de l’appartement. Malgré sa carrure imposante il me semble évident que je vais pouvoir faire absolument tout ce que je veux de lui.
Lorsqu’il arrive dans le salon, F. se présente à moi et va naturellement s’installer là où tout homme demeure auprès de moi : à mes pieds. A genoux sur son coussin je lui demande de me remercier pour ce privilège que je lui accorde, curieuse de savoir ce que ce jeune homme craintif va bien pouvoir me dire. Pris au dépourvu, il ploie devant moi et marmonne quelques mots entrecoupés de « Merci Maîtresse » tout en essayant de maintenir une posture parfaite, qui, je l’imagine, devait ajouter beaucoup de pression sur ses larges épaules. Le résultat lui semble probablement loin d’être à la hauteur de mes attentes mais c’est en réalité exactement ce que j’attendais : la confirmation que mon petit jouet est impressionné et prêt à obéir au doigt et à l’œil.
Je le fais se relever, passe à son cou un collier en cuir relié à des menottes qui lui immobilisent les bras et lui bande les yeux. Je vais le dévorer. Là, complètement cloué au sol je contemple son corps comme une lionne affamée. Par où vais-je commencer ? F. m’a dit aimer l’impact mais être plus sensible sur les zones molles de son corps, c’est donc évident, je vais meurtrir ses fesses. J’attrape ma cravache et commence à frapper cette zone délicate. Le contrat est clair, s’il veut me satisfaire il va devoir endurer tous les supplices que je lui réserve. J’enchaîne les coups avec précision et vivacité, la douleur doit être présente, la chair doit rougir mais ne laisser aucune trace sur le long terme. Lorsque le coeur m’en dit j’attrape ma badine et assène quelques coups secs, je tiens à ce que son corps retienne autant que son cerveau chaque geste que je fais.
Après quelques dizaines de minutes j’observe attentivement la beauté de mon tableau, la forme de la cravache dessinée sur le bas de sa fesse, les points rouges de la canne sur sa cambrure, le résultat est parfait.
Pour être certaine que ma victime ne s’habitue pas trop à la douleur je pars chercher au réfrigérateur une serviette glacée que je pose sur son postérieur meurtri. Le tout doit bien refroidir pour que je puisse à nouveau taper quand j’en aurai envie. En levant les yeux vers la fenêtre je me rappelle de la chaleur cuisante et décide de jouer un peu avec mon pantin. Comment va-t-il réagir face à ce jeu de chaud-froid que je lui réserve ? La main droite pleine de glace, la gauche tenant des couverts gelés je me dirige à pas de velours vers mon F. toujours aveugle. Je veux voir quelle sera sa réaction. Sans crier gare j’appuie mes outils contre son dos brûlant. Je regarde son visage se déformer et sa bouche retenir un soupir, il tient bon. Le jeu d’impact se poursuit jusqu’à ce que je m’épuise et je décide alors de lui proposer un dernier test : s’il veut me rendre fière il va devoir résister à ma séance de chatouilles sans un bruit, au moindre rire il perdra tous ses droits. Je m’allonge contre F. et lui murmure à l’oreille mes règles sadiques, il acquiesce et je vois ses poils se dresser sur son torse. Mes mains commencent à caresser ses jambes, la plante de ses pieds avant de remonter sur son ventre. J’utilise mes ongles, le bout de mes doigts et je parcours chaque centimètre de sa peau jusqu’à atteindre ses aisselles. Tout de suite un sourire se dessine sur son visage, il se mord les lèvres et ses jambes se tordent. Je connais désormais son point faible. Je le chatouille sans répit, je lui dis que s’il sent qu’il va craquer il peut, que je ne suis pas méchante, que je lui promets qu’il n’y aura pas de conséquence, qu’avec moi il peut se laisser aller. Je ris de le voir ainsi transi de peur et d’excitation, je me moque, je rassure, je fais de fausses promesses, je fais tout pour qu’il craque mais il tient. Dans un élan de sadisme je lui dis que c’est fini, qu’il peut se relâcher, qu’il a réussi le test tout en enlevant mes mains de sa poitrine. Je vois alors sa respiration reprendre son calme, son souffle s’apaiser et ses jambes se détendre. Lorsque j’estime qu’il a totalement baissé sa garde je le saisis alors par la gorge et lui dis « ce n’est pas fini » avant de me remettre à le chatouiller fort. Ses dents s’enfoncent sur ses lèvres déjà abîmées, son torse se tord, ses pieds tapent le sol, je sens qu’il lutte et j’adore ça, je veux qu’il soit à bout, qu’il joue sa dignité et sa parole. J’effleure sa chair et ris de sa condition, je suis aux anges. Après quelques minutes de torture je réalise qu’il ne craquera pas et je décide donc de le libérer. Je le fais venir devant moi pour un moment de détente et de plaisir où je vais pouvoir lui apprendre comment un esclave doit s’occuper de mes pieds.
F. s’est montré très à l’écoute, il a su appliquer toutes mes consignes et prouver qu’il méritait d’être à mes côtés. Il a été le parfait petit pantin que je m’étais imaginé et je sais que je serais amenée à le revoir pour d’autres moments sadiques et brûlants.
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